D'abord, il se peut que vous vous demandez ce qui est une École Normale Supérieure.. et pourquoi il y en a plusieurs en France. Ou peut-être non, mais peu importe. Une École Normale Supérieure est à peu près l'équivalent d'une université élite, comme l'Université de Toronto qui est classée parmi les 20 universités les plus élites au monde, en France. Les étudiant-e-s ne s'incrivent pas légèrement à l'ENS comme on fait avec les universités en Ontario. La plupart des étudiant-e-s passent un examen, et seulement les étudiants hauts niveaux sont permis à devenir étudiants. Il y aussi les étudiants, qui s'appellent les normaliens qui sont payés pour y fréquenter. Autrement, les étudiant-e-s font un séjour à un autre université avant d'essayer d'y inscrire. Moi, tous que j'ai fait était de remplir une formulaire demandant de faire une échange en Rhône-Alpes, un entretien et une très petite rédaction pour constater les raisons pour lesquelles j'ai eu envie d'y aller. Comme vous pouvez imaginer, la vie étudiante ne serait pas de tout une repétition de la fête qui était ma première année de l'école.
Parvis Descartes Entrance |
La première impression du campus Descartes était le parvis Descartes. Tous ce que j'ai vu était le béton. La prochaine coup d'œil que j'ai eu était le chemin que je prendrai pour trouver mes cours chaque jour, ce qui m'a présenté avec quelques buissons et plus de béton. Je m'inquiètais un peu. Cependant, j'étais agréablement surprise par le fait que tous mes cours vont se passer dans le même bâtiment, et que ce bâtiment se trouve à une distance de 2 minutes de ma chambre de résidence.
En route vers le cafe, j'ai découvert que l'extérieur du campus est extrêmement trompeur. La plupart du campus se compose d'un jardin. J'aime bien imaginer que je me trouve à l'intérieur du Jardin secret (The Secret Garden) à cause des terraces et chemins sineux. Au centre du jardin, il y a d'espace pour les étudiant-e-s de se détendre dans les rayons du soleils où d'avoir les piques-niques. Je trouve tout cela très Français. Un jour, j'ai exploré un peu avec mes collocs, nous sommes tombé par hasard sur un paddock où se trouve les mouflons ! Il y un club à l'ENS qui s'occupe d'eux !
L'université est très près d'une banque, la poste, deux arrêts de métro, une station Velo'v et deux supermarchés. Je n'aurais jamais besoin de partir le 7e si je n'avais pas envie !
Lentement, je commence à connaître le campus Monod car le plupart des événéments de la rentrée sont passés là-bas. En comparaison avec les rentrées du Canada, il me semble que la différence est qu'ici, ils essaient vraiment de nous adapter à la vie étudiante. Il y avait des sessions pour présenter tous les membres des départements et tous les cours qui vont être offerts. Ils nous donnent de l'information pour vous aider à faire les décisions autour de votre avenir à l'ENS. Etc ! Etc ! J'ai maintenant l'impression que les sémaines d'orientation canadiennes essaient de vous dès-orienter. Il y aucun souci avec la dèsorientation ! Être dèsorienter veut dire seulement qu'on est dégagé de sa zone de confort. Enfin, les approches me semblent complètement différentes. Il y avait quand même une excursion de rafting à laquelle je n'ai pas assistée, mais j'ai entendu que c'était une version mini d'une sémaine d'orientation au Canada (sauf qu'on n'a pas typiquement autant d'hommes nus !?).
Lentement, je commence à connaître le campus Monod car le plupart des événéments de la rentrée sont passés là-bas. En comparaison avec les rentrées du Canada, il me semble que la différence est qu'ici, ils essaient vraiment de nous adapter à la vie étudiante. Il y avait des sessions pour présenter tous les membres des départements et tous les cours qui vont être offerts. Ils nous donnent de l'information pour vous aider à faire les décisions autour de votre avenir à l'ENS. Etc ! Etc ! J'ai maintenant l'impression que les sémaines d'orientation canadiennes essaient de vous dès-orienter. Il y aucun souci avec la dèsorientation ! Être dèsorienter veut dire seulement qu'on est dégagé de sa zone de confort. Enfin, les approches me semblent complètement différentes. Il y avait quand même une excursion de rafting à laquelle je n'ai pas assistée, mais j'ai entendu que c'était une version mini d'une sémaine d'orientation au Canada (sauf qu'on n'a pas typiquement autant d'hommes nus !?).
J'ai commencé mes cours cette sémaine. J'étais prévu que le style d'enseignement est complètement différent du style employé au Canada ... est c'est vrai. Pendant six heures aujourd'hui, j'ai écouté. Après avoir passé presque cinq mois en voyageant ou en jonglant 16 écrans de navigateur ouverts, et n'avant jamais eu besoin de me concentrer pendant plus de vingt minutes, les cours de deux heures où l'étudiant-e n'est pas vraiment engagé-e étaient beaucoup d'effort pour moi. Mes profs s'expriment très bien, ce qui est bien, mais je prendrai du temps à m'adapter à cette approche. Je suis habituée au cours où il faut contribuer et où l'apprentissage est un processus partagé. Ici, c'est plutôt l'apprentissage par mémoire. Il me semble que les profs sont accommodants pour les étrangers ! Je suis très reconnaissante que j'ai eu l'occasion de pratiquer l'écriture des dissertations et des comptes rendus en français avant ce semestre.
J'ai reçu mes résultats du teste de niveau de Français et j'ai eu le niveau C1 (le plus haut à part d'être bilingue). J'étais très inquiète ! Je me demande constamment si mon niveau de Français est en train de s'améliorer car il me semble que tous mes échanges avec les francophones sont gênés. Je prononce mal les mots que je sais bien comment prononcer ! Il y longtemps que je ne me parlais pas en français dans ma tête. Enfin, je veux dire ...
... peu importe, j'ai hâte de commencer mes autres cours cette sémaine et de m'engager dans le ClubRock (un club de danse). Merci de m'avoir lu jusqu'ici (et d'avoir ignoré les fautes de français). À la prochaine !
Bisous,
Tessa
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